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GINOUX LION

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Les ascendants de Fernande FABRE et Lucien GINOUX sont indiqués par la couleur violette
 

Antoine Toussaint GINOUX et Marie Magdelaine LION

Antoine Toussaint est né le 1er octobre 1795 à La Roque d’Anthéron. Ses parents sont Jean Baptiste GINOUX, agriculteur et Marie Madeleine EYGUESIER. Avant son mariage Antoine a été appelé au service militaire napoléonien plus d’un an avant ses 20 ans, Napoléon ayant un besoin pressant de chair à canon. La chute de Napoléon réduira son service à 3 mois. Malgré sa désertion, il obtiendra la médaille de Sainte Hélène en 1857.

Marie Magdeleine LION est née le 15 octobre 1799 à Lambesc. Ses parents sont Jean Baptiste LION de Lambesc et Magdelaine VAISON d’Eygalières.

Antoine est appelé au 1er Régiment d'Infanterie de Ligne

Dès leur mariage, le 5 mars 1818 à Lambesc, Antoine GINOUX et Marie LION vivent à La Roque, probablement dans la vallée de Sainte Anne. En effet, leurs 7 enfants naissent dans cette commune. 

Actes d’état civil de ce couple.

Leurs 7 enfants (6 garçons et 1 fille) tous nés à La Roque :

  • Antoine né le 15 septembre 1819, décédé la même année, le 17 décembre 1819.
  • Jean Joseph né le 12 octobre 1821, décédé la même année, le 14 octobre 1821.
  • Joseph Marc Antoine né le 15 avril 1823. Il se marie à Charleval le 11 février 1850 avec AUDIER Thérèse Augustine. Il décède le 31 janvier 1900 à Charleval.
  • Jean Pierre né le 24 mai 1825. 3 générations avant Fernande et Lucien, une union des lignées GINOUX et FABRE se constitue. Jean-Pierre GINOUX se marie le 16 février 1851 à La Barben (13) avec Honorine Madeleine FABRE née le 18 juin 1835 à Charleval, petite fille de Jean Joseph Narcisse FABRE et de Thérèse IMBERT  et fille du fils ainé, Joseph FABRE et de Marie GUITTON. Le couple s’installe à Mérindol (Vaucluse). Honorine va malheureusement décéder encore jeune le 30 décembre 1859 à Mérindol (Vaucluse) à l’âge de 24 ans. Ils ont un enfant, Victor André GINOUX. Celui-ci va se marier le 21 avril 1881 à Cheval-Blanc (Vaucluse) avec Clara Rosine LAPIERRE. Leur fils Emile André Aimé né en 1891 va créer une branche belge des GINOUX.         
    Jean Pierre va se remarier le 16 août 1860 avec Véran Marthe BELLUGUET née à Puget (Vaucluse). Ils ont beaucoup d’enfants qui meurent très jeunes sauf deux filles, Victorine et Désirée. C’est leur fille Désirée, née en 1872 à Mérindol qui va émigrer aux Etats Unis d’Amérique et va créer la branche américaine des GINOUX.
  • Louis né le 10 septembre 1828, décédé le 21 octobre 1830.
  • Jean-Baptiste né le 20 mai 1831. il se marie le 26 avril 1860 à La Roque d’Anthéron avec BARTHOULIN Victoire (génération suivante de la généalogie de Pascal GINOUX)
  • Marie Thérèse née le 15 octobre 1833. Elle se marie le 6 février 1853 à La Roque avec VALENCE Ferdinand Pierre de Saint Estève Janson, propriétaire cultivateur. Leurs enfants nés à Saint Estève : Thérèse Marie Berthile née en 1854, est placée comme domestique à Cavaillon, mariée à Saint Estève le 9 septembre 1879 avec ROUSSET Auguste charcutier ; Gustave né en 1862 marié avec Clarisse BECCARU, puis avec Lucie GREGOIRE, il demeure à Cadenet (84) ; Baptistin né en 1865 ; Louis né en 1869, la même année du décès de son père Ferdinand VALENCE à 44 ans. Louis est domestique de ferme et vit seul en 1896 à Saint Estève. Il  se marie le 30 avril 1898 à Venterol (04) avec Léonie RICHAUD (née à Venterol Basses Alpes). Il est patron coiffeur à Saint Estève en 1906 avec sa femme et son fils Marceau né en 1899 à Saint Estève. La famille VALENCE habite Saint Estève dans le village, du mariage en 1853 à 1891. Marie est devenue veuve et travaille en tant que journalier. Puis elle va habiter chez son fils Gustave à Cadenet où elle décède le 11 mars 1900.

En 1841, après le décès du père de Marie LION , le couple habite à Lambesc au quartier de La Baume (près de la Chapelle Saint Anne) avec leurs 3 fils encore vivants, Antoine (Joseph Marc), Jean Pierre et Jean Baptiste et leur fille unique Marie Thérèse. A Saint Anne en 1851, ils habitent la bastide avec leurs enfants Jean Baptiste (19 ans) et Marie Thérèse (18 ans). En 1861, ils y vivent seuls. En 1866, ils viennent habiter rue Grande au chef lieu. Antoine décède le 11 août 1870 et Marie LION se réfugie chez sa fille Marie-Thérèse à Saint Estève Janson où elle décède le 9 mai 1872.