Dans la Drôme, l’Ardèche et ailleurs, des autocars affichent le nom de GINHOUX. Intrigués par cet affichage, nous souhaitions depuis longtemps étudier cette famille.

Le site internet des autocars GINHOUX nous donne quelques indications :

« Une entreprise familiale depuis 7 générations :

En 1830, Théodore Ginhoux, ancien muletier, s’installe à Mayres (Ardèche) où, après les bouleversements de la Révolution et du Ier Empire, il met à profit la mise en service progressive de la Route Royale d’Auvergne, future RN 102, pour acquérir son premier attelage et développer son activité de transport de marchandises et de voyageurs.

Cet événement marqua le début d’une histoire qui dure encore. La 1re automobile de la maison arrive en 1910, le 1er autocar en 1920.

Par la suite, les différentes générations Ginhoux ne cesseront de développer leur entreprise, avec une large diversité des transports : lignes régulières et scolaires, lignes SNCF, transport de personnel…

Aujourd’hui le secteur du tourisme est très important avec plus de 40 000 clients, issus principalement des départements de l’Ardèche, de la Drôme, du Gard, de l’Hérault et du Vaucluse. »

Extrait du site des autocars GINHOUX

Fort de ces indications, nous avons recherché ce fameux Théodore et remonté les générations. Il semble que ces GINHOUX descendent de GINHOUX des Cévennes,  notamment de La Lèche dans la commune de Saint Julien des Points. L’un d’entre eux s’est installé au Puy en Velay. Un descendant s’est installé à Issarlès (Ardèche) dans le hameau nommé Le Mont. Dans ce qui suit, nous allons peu à peu prouver (ou infirmer) ces hypothèses.