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La famille GUIEN DESCALIS

André Etienne GUIEN vit chez ses parents à Villelaure. Son père est agriculteur. Leur nom est orthographié GUION.
Honorine DESCALIS vit avec ses parents à Saint Estève Janson. Son père est agriculteur.
L’important propriétaire de Villelaure est le marquis Joseph II de Palamède de Forbin proriétaire important de Saint Estève Janson également. Il était probablement courant à l’époque de se rencontrer entre villageois des deux communes pourtant séparées par la Durance.
André Etienne GUIEN et Honorine DESCALIS se marient le 13 janvier 1838 à Saint Estève Janson lieu de vie de la jeune femme suivant la tradition.
Leur couple va habiter à Villelaure chez les parents d’André. Vers 1844 ou 1845, le couple s’installe probablement au hameau du Piquet sur la commune de La Roque d’Anthéron. C’est là que naît leur premier enfant Jean Baptiste le 24 juin 1845. Cette petite famille habite à La Bastide du Plan en 1851 où naît Honorine Marie Thaïs, leur second enfant. En 1856, la famille habitent au hameau des Fitayes. C’est là que va décéder Honorine DESCALIS le 27 janvier 1860.
Au recensement de 1861, André GUIEN est veuf avec deux enfants encore jeunes 16 ans et 10 ans.
La famille GUIEN SURIAN

André Etienne GUIEN se remarie le 7 février 1866 à La Roque d’Anthéron avec Irma Eléonore SURIAN dont le père est potier (de terre) à La Roque. Peu après le mariage le nouveau couple habite aux Grandes Ribbes avec les enfants d’Honorine DESCALIS. Puis la famille emménage au quartier Saint Roch toujours sur la plaine de la Durance. C’est là que naît Etienne Baptistin le 4 janvier 1868.
En 1872, au hameau du Piquet, le nouveau couple a déjà deux enfants Etienne Baptistin et Marius Isidore né le 8 mai 1871. la famille héberge la maman de Irma, Marguerite VILLEVIEILLE devenue veuve en 1869. Les deux grands enfants d’Honorine DESCALIS ne sont plus avec le couple.
La famille GUIEN SURIAN reste de longues années au Piquet (où naît Marie Olympe le 1er novembre 1876) au moins jusqu’au décès de la mère d’Irma SURIAN le 24 mars 1883.
En 1886, la famille est de nouveau aux Grandes Ribbes et va y rester.
Les recensements concernant ces familles










