Le site de la Communauté des Ginoux

GINOUX Maurice Marianne Légionnaire

Ce sont tous des arlésiens. Déjà au XVIIe siècle, et sûrement bien avant, ils habitaient Arles (13).

En remontant quelque peu les origines de cette branche, il se trouve que Maurice Marianne GINOUX est un descendant d’un certain Vincent Florentin GINOUX qui a accompagné Napoléon BONAPARTE dans ses conquêtes et s’est vu décerné la Médaille de Sainte Hélène par Napoléon III.

Si on alloue à Maurice Marianne GINOUX le Sosa n° 1, ce papy porte le Sosa n0 16 ; 5 générations les séparent.

Sa famille

Pour ses parents, le côté paternel, nous venons de le voir, est arlésien. Mais côté maternel, la Haute-Corse est son domaine avec les villages de Prunelli-di-Fiumorbo, Ghisoni, et Morosaglia.

Marie Dominique GAMBOTTI, bien que née à Toulon, possède de solides origines corses.

C’est à Alger que Maurice Marianne GINOUX rencontre et s’unit à Germaine Marie Angèle MARSEILLE (1907-1973). La noce sera célébrée le 22 juin 1926 à Alger.

Ils auront quatre enfants dont le premier ne vivra qu’un mois. Tous naissent en Algérie.

Son parcours civil et militaire

Maurice Marianne GINOUX voit le jour à Alger le 27 janvier 19041. Après 25 ans, 7 mois et 22 jours dans l’armée française, il se retirera à Nice, avec son épouse, où il mourra le 29 décembre 19682 au 5, avenue Primerose. 

Ci-après, le 5 avenue Primerose porte aujourd’hui le n°21.

  • 1 Dossier Leonore – Vue 16/19 – Acte B° 233 –
  • 2 Dossier Leonore – Vue 3/19 – Acte N° 5346 –

On trouve facilement sa trace dans la liste alphabétique des jeunes conscrits pour la classe 1924 à Alger.

Mais le même site ne détaille pas sa feuille matricule. D’un autre côté, son dossier Léonore ne fournit que très peu d’informations relatif à son parcours militaire. Voici cependant son contenu :

Ci-dessus Saint-Paul-aux-Bois (Aisne)1 où le capitaine GINOUX fut blessé

  • 1 Source : Généanet – CP déposée par : lilly8.

Par décret du 21 décembre 1951, il sera admis dans l’Ordre de la Légion d’Honneur en qualité de chevalier. Cette distinction lui sera remise le 11 mai 1952, à Alger par le Général de corps d’armée Jean CALLIES, commandant la 10e Région Militaire.

Auteur

Roland MONGAÏ – Diplômé universitaire en Généalogie et Histoire des familles.

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