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MARTINEAU PAROYS

Jean Louis MARTINEAU et Victoire Désirée PAROYS

Jean Louis MARINEAU est né le 1er septembre 1845 à Beaulieu sous la Roche (Vendée). Ses parents sont Louis MARTINEAU, laboureur et Marie AUGIZEAU, ménagère domiciliés à La Gachetière sur la commune de Beaulieu sous la Roche.

Victoire Désirée Théotiste (ce dernier prénom étant devenu Clotilde, au fil du temps) PAROYS est née également un 1er septembre, mais en 1946 à Saint Étienne de Mer Morte (Loire inférieure devenue Loire atlantique). Ses parents sont Jacques PAROYS, journalier et Madeleine MORINEAU, journalière, domiciliés à Saint Étienne de Mer morte.

A l’âge de 25 ans, Jean Louis MARTINEAU est capable de lire et d’écrire sans trop connaître le sens de tous les mots. Avant son service militaire, il est probablement placé comme domestique d’un agriculteur ou peut-être d’une famille lettrée (à rechercher). L’école de Jules Ferry n’existe pas encore. Au retour de la guerre éclair de 1870, il reprend son service de domestique à Aizenay non loin de La Roche sur Yon en Vendée, une ville nouvelle à l’époque.

Jean Louis MARTINEAU et Victoire  Désirée PAROYS (devenu PERROIS) s’épousent le 18 mai 1874 à Beaulieu sous La Roche où Victoire est servante. Victoire un prénom évocateur pour Jean Louis qui en rêvait pendant la guerre franco-allemande de 1870. Lui a 28 ans et elle 27 ans.

Leurs deux enfants :

  • Auguste Victor Louis MARTINEAU né le 26 février 1875 à Landeronde (Vendée) où son père est journalier. Fervent patriote comme son père, à 20 ans, il signe un engagement de 4 ans dans un régiment d’Infanterie de Marine. Il est rapidement envoyé combatre dans la guerre du Tonkin. Il décède malheureusement au combat le 17 juin 1897 à Than-Moï. 
  • Victoire Florine Louise MARTINEAU née le 22 avril 1878 à Luché-Thouarsais (Deux Sèvres) où son père, entré dans les chemins de fer, est garde-barrière. Elle épouse le 27 avril 1903 à Pouançay (Vienne) Marcelin BLAIS domestique à La Motte Bourbon, commune de Méron en Maine et Loire. C’est dans cette commune proche de Montreuil Bellay qu’elle décède le 18 mai 1953.

La famille MARTINEAU PAROYS migre peu à peu vers le nord, peut-être en fonction des postes de Jean Louis aux chemins de fer :

  • 1874 –  Aizenay (Vendée) où Jean Louis a été placé comme domestique
  • 1874 – Beaulieu sous la Roche où Victoire Désirée est servante et où leur mariage sera célébré.  C’est de plus le domicile des parents de Jean Louis, Victoire ayant perdu ses parents bien avant son mariage. 
  • 1875 – Landeronde (Vendée) où nait leur premier enfant Auguste.
  • 1878 – Luché-Thouarsais (Deux Sèvres) où nait leur fille Victoire
  • ……..
  • 1895 – Pouançay (Vienne), au hameau de La Motte Bourbon. Jean Louis est poseur au chemin de fer et sa femme garde-barrière. Leur fille Victoire est couturière.
  • 1901 – Pouançay où ils semblent rester pour leurs vieux jours.

Leurs dates et lieux de décès n’ont pas encore été trouvés.

Actes d’état civil de la famille

Les recensements de la famille MARTINEAU PAROYS

Recensement 1876 au bord du chemin de fer à Luché (Vendée)
Recensement 1895 La Motte Bourbon Pourançay (Vienne)
Recensement 1901 La Motte Bourbon Pourançay (Vienne)
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