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GIGNOUX Jean Paul Emile Légionnaire

Son dossier Léonore ne comporte que deux feuilles qui ne nous apprennent rien. Les premières recherches concernant ce Vicaire Général ont consisté à retrouver ses prénoms, puis ses ascendants afin de pouvoir développer son histoire. Ainsi j’ai rapidement découvert qu’il se prénommait : Jean Paul Émile. Il est né à Bordeaux le 5 nivôse an V, soit le 25 décembre 17962.

  • 2 Archives Bordeaux Métropole – Section Centre – Acte N° 304 – Vue 47/164 – Cote 1E15 – (blouit/Généanet)

Ses ancêtres

Côté paternel, ses grands-parents arrivent de Golfech (82). Son grand-père François est le dernier enfant du couple GIGNOUX & CAUNET (parfois écrit COUNET).

Jean Paul Emile est le fils de François GIGNOUX.

Le côté maternel est bordelais. Mathieu BOLLE, aura 5 enfants avec sa première épouse ; Pétronille FENAUT, qui mourra à 38 ans. Ursule Pétronille est la quatrième de cette première fratrie.

Mathieu BOLLE est le père d’Ursule Pétronille.

Il se remariera avec Marie Thérèse TAILLAUD qui lui donnera 6 autres enfants.

Les 11 enfants de Mathieu BOLLE qui constituent sa descendance :

On repère facilement Pétronille Ursule BOLLE.

Sa famille

Ses parents : François GIGNOUX, nous venons de le voir, est né à Golfech1 le 1er novembre 1760. C’est à Bordeaux qu’il meurt le 1er mars 18412 au 20 de la rue Saint Sernin. Il a 80 ans.

  • 1 AD 82 – Naissances Golfech 1760 – Page 11/30 – Cote 6 e 072-1 –
  • 2 AD33 – Décès Bordeaux 1841 – Acte n° 241 – Vue 35/183 – Cote 4e 1151 –

Quant à sa maman, à la naissance1 son prénom est Pétronille ; lorsqu’elle se marie ce prénom devient Ursule et enfin elle meurt2 en se nommant Pétronille Ursule BOLLE !

La noce entre François GIGNOUX et Pétronille Ursule BOLLE est célébrée à Bassens, le 15 juin 17913.

Ses frères et sœurs : Lorsque Jean Paul Emile GIGNOUX arrive au monde, ses parents ont déjà deux filles Thérèse Françoise et Zélie. Trois ans après arrivera Joseph Armand GIGNOUX qui sera fait Evêque et Officier de la Légion d’Honneur.

  • 1 AD 33 – Baptêmes Bordeaux 1770 – Paroisse St André – Vue 95/107 – Cote 4E 253 –
  • 2 AD 33 – Bordeaux Décès 1815 – N° 799 – Vue 68/143 – 4 E 958 –
  • 3 AD 33 – Bassens Mariages 1791 – Vue 229/253 – Cote 1 MiEC 43-R5 –

Son parcours civil et religieux

Le seul élément qui peut le rattacher à la vie civile est la remise de sa médaille de Chevalier de la Légion d’Honneur. La cérémonie a lieu le 13 novembre 1859, mais on ignore qui le lui a remis et l’endroit.

En 1981, J. CHARON-BORDAS constitue un dossier1 des candidatures à l’épiscopal pour les XIXe et XXe siècles. Parmi ceux-ci, on trouve :

  • 1 Archives nationales – Pierrefitte-sur-Seine – Page 22/44 – Cote F19-2611 et F19-2646 –

Son décès

C’est vraisemblablement à l’Hôpital Pellegrin de Bordeaux qu’il décède, vers 23 heures, le 19 mai 18701.

La famille fait paraître dans le journal local La Gironde du 21 mai 1870 :

  • 1 AD 33 – Décès Bordeaux 1870 – Acte n° 906 – Vue 118/311 – Cote 4E 1498 –

Auteur

Roland MONGAÏ – Diplômé universitaire en Généalogie et Histoire des familles.

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